En exploitant les particularités quantiques de la matière à l’échelle atomique, les ingénieurs de recherche d’IBM tentent de concevoir un processeur 260 000 fois plus petit que les puces de silicium…
Pour tenter de révolutionner la microélecronique, une équipe du centre de recherche IBM d’Almaden à San Jose, en Californie, s’est appuyée sur une nouvelle méthode de mesure des propriétés magnétiques des atomes développée en 2004, dite « spectroscopie de rotation de spin ».
Pour parler de façon simple, chaque atome pris individuellement possède une propriété physique qui le caractérise : le spin, c’est-à-dire grossièrement son orientation dans la matière. Introduite par les théoriciens de la mécanique quantiques dans les années 1920, menés par Pauli, cette propriété magnétique qui affecte les électrons ainsi que toutes les particules subatomiques peut s’interpréter comme un moment angulaire, c’est-à-dire une mesure de la rotation de la particule sur elle-même ce qui lui donne une orientation. Ce spin prend différentes valeurs quantifiées (c’est-à-dire fixées par avance).
Putain, perso j'ai pas compris grand chose, pour les malin et qui veulent en savoir plus, t'as qu'a suivre ce lien
2 commentaires:
hmm, si je comprends bien, par analogie aux transistors qui n'ont que 2 états vis à vis du passage du courant électrique ... les particules subatomiques manifestent la même chose par rapport à un champs magnétique avec la différence que celles ci peuvent prendre plusieurs états ... et c'est ce qui décuple la capacité de calcul d'un circuit fait sur ce concept
intéressant
ou inversement :)
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