Je vais pas me prendre pour "Labib", mais il fallait que j'en dise deux trois mots. J'ai passé trois étés consécutifs loin de mon pays et de ses plages, à mon retour, j'ai eu la désagréable surprise de voire que la situation est devenue désespérante.
Depuis mon enfance, je me beigne à "ras-el-jbal", un petit coin de paradis, une plage vierge, qu'on occupaient avec deux voisins, et personne d'autres, du sable blanc, une eau avec toutes les teintes du bleu, un vrai coin de paradis je te dis.
Maintenant ce que je vois c'est les canettes de bière qui remplacent les galets, les sachets en plastique à la place des petits poissons, et même cette année, les méduses attaquent !!! Je n'en avais jamais vu auparavant et j'y passé tout l'été.
Je regrette ce paradis de mon enfance, mon refuge de beauté est envahi par les "peaux de pastèques", mon Eden est devenu un dépotoir.
Je regrette la plage de mon enfance…
On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux
1 commentaire:
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