Il y a à peine quelques jours je suis rentré en contact avec d’anciens amis à moi, de l’époque glorieuse du lycée, et hier, en me remémorant le temps révolu, je me suis souvenu d’une histoire assez intéressante je vous la raconte :
Ca se passait pendent les années lycée, pendent la pause déjeuner de midi, un jour où on avais cours l’après midi.
Pour tuer le temps je suis sorti devant le lycée avec mon meilleur pote, Luc, pour griller quelques clopes dans la cabane du gardien, comme toujours au Qatar le temps été super sec, et il faisait un chaleur à en crever, en repartant en cours, on as jetés nos clopes sans faire attention et on c’est dirigé vers notre classe pour nous faire bien chier en cours de physique (je crois que c’était physique, ce qui est sur c’est qu’on se faisait chier), environ ¼ d’heure plus tard les 5émé (nous on été en seconde) ont déboulés dans notre classe pour nous dire qu’il y avais le feu, à l’extérieur les flammes dépassaient la clôture du lycée, c’été assez impressionnant mais n’écoutant que notre courage, avec quelques copains, on as pris les extincteurs pour jouer aux pompiers amateurs, une fois le feu maîtrisé les « vrais » pompiers ont fait leur apparition, histoire de marquer le coups et d’éteindre les cendres qui restaient de la cabane.
La partie la plus drôle de cette histoire arrive le lendemain, des le matin ont a reçu la visite du proviseur (J.L. Carpe) venu nous voir pour deux raisons, il a commencer par nous féliciter pour notre réactivité pour avoir éteint le feu, qu’il été fier de notre comportement, bla bla, mais c’été surtout pour nous informer que dorénavant il n’été plus du tout toléré de fumer ni derrière le gymnase (c’été l’endroit choisi par tous les fumeurs), ni dans les toilettes ni ou que ce soit dans le lycée, sous peine d’un renvois de trois jours !
Et bien, je vous le donne en mille les deux seuls cons qui ont eu les couilles d’aller derrière le gymnase à peines deux heures après, pendent la récré histoire de se griller quelques clopes c’étais bien sur mon cher complice Luc et moi.
C’est vrai qu’on se croyait plus malin, du coups on s’était posté aux deux endroits stratégiques, moi je surveillais le coté terrain de foot et Luc surveillais côté piscine, ( ouais je sais, on avais une piscine, un gymnase, un terrain de foot, des terrains omnisport … c’été le Qatar les gars, on été riches, c’est pas la misère !!!) bref, on croyait couvrir les endroits dangereux, mais c’était sans compter sur l’intelligence de ce cher J.L. Carpe qui est passé par l’intérieur du gymnase et c’est retrouvé entre nous.
Putain on été mal (je dois vous dire que Luc, s’en foutais un peu, il as tendance, à s’en foutre un peu à chaque fois d’ailleurs) Moi je voyais déjà l’exclusion, je vous avoue que même si j’été un vrai petit dur, au lycée face à mon père je pesait pas lourd, et je le voyais déjà entrain de m’arracher les boyaux pour me pendre avec, mais après 3 min de morale et c’est parce que je m’entendais bien avec M. Carpe (il faut dire qu’a l’époque je gérais le Kiosque (cafette), du lycée et que j’été le seul dans son histoire à lui avoir fait faire des bénéfices, bref ça c’est une autre histoire) il as bien voulu fermer les yeux et nous pardonner.
Voila, peut-être qu’une autre fois je vous raconterai, d’autres conneries que j’ai faites dans ma jeunesse !
On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux
7 commentaires:
ah, c'est un beau roman, c'est une belle histoire, c'est une romance d'aujourd'hui...on était si jeunes et cons dans le brouillard, et puis c'était le midi, LE MIDI...sur un air qatarite! je ne connaissais pas cette histoire, qui ne m'étonne pas d'ailleurs, j'ai toujours su que tu étais un petit pyromane! tu as d'ailleurs passé une année à faire bruler toutes genres de choses ;) Mais je me souvenais des bénéfices que tu as fait en tenant la cafette, tu as eu d'ailleurs la légion d'honneur pour ça, non? c'était avant ou après que tu sois Dunkan MacLéod?
me rappelle pas...
IjjaBilCaviar, svt imitée, js égalée
Après le feu il y a eu les tags aussi, toujours derrière le gymnase.. Un endroit important dans nos vies. Quant à la cafette, j'y ai mangé gratuitement pendant un an, c'était tous les jours une orgie de Sprite et de pains aux chocolats et de Twix, mon dentiste s'en souvient encore.
Bien sur, il fallait bien soudoyer mon cher complice. Mdrrrr, t'imagine ce qu'on aurait bavé si ils avaient su que c'etait nous ?
j'adore ces histoires! finalement les clopes ça nous fait faire des trucs pas possibles...
ouais heuresement que j'ai arrete, j'ai pas voulu mettre le feu dans la maison de mes parents.
j'y etais et j'ai passe un bon moment. Les regardais etteindre le feu c t something! rigolot mais somthing! et c t pas le cour de physique mais d'economie (avec Mr. Aladin) un cour pire que celui de physique. merci pour les 2h de liberte, il fallait on faire plus souvent.
vive le cône!!!!!!!!!
joe
Enregistrer un commentaire